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Tarn en famille
23 avril 2015

DOURGNE

Au pied de la Montagne Noire, Dourgne offre un cadre préservé où les amateurs de gastronomie, de randonnées, d’histoire et d’activités sportives originales se retrouvent. Car à Dourgne, chacun trouve son bonheur. Les uns dans la diversité de paysages et de terrains proposée par Dourgne, d’autres dans les produits du terroir, d’autres dans la richesse culturelle et patrimoniale du Pays de Dourgne. Un lieu pluriel. A l’image du Tarn.
 
Envie de calme ?
Si vous voulez vous ressourcer au calme absolu, choisissez l’Abbaye d’En Calcat qui accueille dans ses murs les amateurs de retraite spirituelle au sein de la vie des moines.  A l’abbaye scholastique, les sœurs bénédictines vous accueillent aussi dans le même esprit. Une expérience.
 


Envie de grand air ?
Si vous êtes plutôt nature et grand air, vous vous régalerez dans les sentiers de randonnée de la Montagne Noire. Appréciez les panoramas, le roc de la Bade, la Vallée du Baylou et les nombreux petits trésors cachés au détours des chemins (pigeonniers, croix, fontaines…).

 

FETE DU ROMARIN

Chaque année, lors de la Fête du Romarin (dimanche de la Sexagésime) les habitants de Dourgne organisent défilé et festin pour commémorer, ce qui fait que la fête a lieu sans discontinuer depuis 800 ans environ. Bel exemple de continuité.Le défilé médiéval triomphal fait son entrée sur la Promenade./Photo DDM, archives.

 Il était d'usage pour les jeunes de Dourgne de voler rituellement dans les jardins la nuit précédant la fête du romarin. On se souvient aussi que ce sont des jeunes gens qui sont allées demander à Philippe le Bel la reconstruction de leur village. Le romarin est donc fortement lié à la jeunesse.  Le village aura revêtu, comme chaque année, ses atours médiévaux avec décors, animations, la mobilisation villageoise s’accroît et même si le romarin n’est plus dérobé nuitamment dans les enclos, comme à l’origine, il reste et restera toujours l’emblème indestructible de la fête.

En costumes d'époque

Les festivités débutent à 9 heures par un marché médiéval gourmand et aux douceurs locales sur la place des Promenades, précédant le défilé historique triomphal de 11 heures. À midi, après la supplique à l’échevin du village d’autoriser les festivités, l’assistance est invitée à laisser exploser sa joie : des musiques d’époque entraînent des danses endiablées d’adultes et de jouvenceaux, des spectacles de rue font le régal de la foule. L’élixir de Romarin et ses vertus apéritives incitent à faire honneur contre quelque monnaie au repas champêtre mitonné par les Dourgnols : jambon, cochonnailles, freisinat, saucisses grillées, fromages et douceurs figurent au menu arrosé de vin du Midi.

L’après-midi, dès 14 h 30, la «pastjada», cortège d’attelages et de piétons, portera la fête et ses animations sur le parvis de l’abbaye d’En Calcat, où les troupes et les villageois produiront un spectacle de danses, de chants, de saynettes, de combats singuliers, de cascades. Pendant cette escapade, les animations de la promenade seront maintenues et amplifiées au retour du cortège, vers 17 heures, jusqu’au spectacle final de 19 heures.

 

 

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SAINTE SCHOLASTIQUE

L'abbaye est située au pied de la montagne noire, sur la commune de dourgne (Tarn). Là vit et prie une comunauté de soeurs bénédictines.

 

 

 

ABBAYE D'EN CALCAT

L’abbaye Saint-Benoît d'En-Calcat est une abbaye bénédictine en activité faisant partie de la Image illustrative de l'article Abbaye d'En-Calcatcongrégation de Subiaco. Elle se trouve dans le hameau d'En-Calcat dépendant de Dourgne dans le Tarn. La communauté était en 2013 de 55 moines (23 prêtres et 32 frères non ordonnés). L'abbaye est connue pour l'édition des Livres d'Heures d'En-Calcat, avec un répertoire de nouveaux cantiques en français. La liturgie est célébrée en français.

 

 

fontaine

 

 

GROTTE DU CASTELLAS

ENTREE-CASTELLAS  La grotte du Castellas se trouve au sud-est du département du Tarn sur  la commune de Dourgne dans la vallée du Taurou. Cette vallée entaille un massif  karstique en contact avec des schistes.

 

Cette cavité  est connue depuis plusieurs dizaines d'années autant au niveau archéologique  que spéléologique mais aussi pour sa population de chauves souris. L’importance  du site pour les chiroptères et les menaces présentes ont attiré l'attention  des naturalistes qui, avec la collaboration des spéléologues, assurent un suivi  scientifique et organisent la protection

 

 LA CAPELETTE : La chapelle de Saint-Ferréol a été reconstruite vers 1947 par les moines de l'abbaye d'En Calcat, à proximité du site d'une chapelle plus ancienne dont on garde le souvenir grâce à une croix installée à son emplacement. L'existence d'une chapelle sur le plateau de Saint-Ferréol remonterait au Moyen Age.

FICHE RANDO

Niveau : Difficile

Balisage : Jaune

des montées et descentes physiques en VTT

Carte IGN 2244 E / 2344 O

     

Départ de DOURGNE,

    A partir de l’Office de Tourisme du Pays de Dourgne, remonter l’avenue du Maquis en direction d’ARFONS. 100 m après la sortie de DOURGNE, tourner à gauche dans un petit chemin entre deux haies    d’arbustes.

    Traverser la D12 et s’engager sur un large chemin empierré.

    80 m après franchir un fossé sur la gauche, par un petit ponton en bois. Monter sur un sentier étroit. Retrouver la D12, la traverser pour monter vers le point de vue de ST STAPIN 2 sur le roc de    la Bade à 70 m à gauche. Remonter la ligne de crête qui surplombe la carrière en contrebas à droite jusqu’à ST CHIPOLI (526 m) 3.

    Descendre tout droit dans un bois, pour arriver dans le vallon du TAUROU jusqu’au chemin des Ardoisières que l’on remonte. On laisse, à gauche, la ferme d’En Albouy. Arrivé sur le plateau, dans    les pacages, prendre à gauche un chemin entre deux clôtures 4*, puis encore à gauche un chemin carrossable jusqu’à la CAPELETTE de ST FERREOL (554 m) 5. Devant la chapelle part un chemin balisé    qui descend vers le pont de l’Albarède d’où l’on regagne DOURGNE.

    * : Possibilité d’un détour (30 min.) pour admirer la vue superbe sur le hameau de « La Rivière » (Massaguel) et sur la forêt (vue jusqu’à Font-Bruno et le Pas du Sant).

 

MASSAGUEL :

Le village de Massaguel, haut lieu historique tarnais, fut construit bien longtemps avant que les cadastres soient créés. Il est donc difficile de savoir à quel moment exact le village fut construit. Il semblerait qu'aux alentours de 1152, le nom du village fut alors « Macaguel ».

Selon certains, Massaguel serait un diminutif de « Massac » qui proviendrait du nom d'un Romain « Maccius ». Selon d'autres sources, la présence d'une grosse nappe d'eau souterraine expliquerait le nom (« masse de agua », transformée au fil du temps et de l'eau).

Plaque tournante du commerce tarnais au Moyen Âge, Massaguel offrit une résistance acharnée à Simon de Montfort, qui parvint tout de même à en venir à bout, lors de la Croisade des Albigeois.

Les protestants prirent le contrôle du château en 1569, lors des troubles entre Protestants et Catholiques.

Le château de Massaguel, du XIIIe siècle, qui a pris lRésultat de recherche d'images pour "massaguel"a suite du château de Contrast ruiné par Simon de Montfort lors des affrontements survenus au cours de la croisade des Albigeois.

Église du village où dom Robert a réalisé la seule fresque murale de tout son répertoire artistique, représentant des colombes s'abreuvant à une fontaine. L'œuvre se trouve derrière l'autel, et fait donc face aux personnes venues assister à la messe. Le tabernacle est l'œuvre du sculpteur et diacre Jacques Dieudonné dont on trouve le travail dans de nombreuses églises en Europe.

 

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